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Bout de vie : Un pied au sommet...

EXPEDITION « UN PIED AU SOMMET ».

En janvier dernier, une expédition menée par trois personnes amputées a tenté l’ascension du Cerro del Pissis (6882 m), le plus haut volcan de la planète. Frank Bruno, Eric Lecomte et Franck Festor accompagné par Marianne Chapuisat, seule femme au monde à avoir gravi un 8000 mètres en conditions hivernales (le Cho-Oyu, 8201m) ont tenu à effectuer cette ascension sans porteur. Ils ont tenté ce défi pour l’association « Bout de vie » que préside Frank Bruno. "BOUT DE VIE" accompagne depuis maintenant cinq ans des personnes amputées pour les aider à prendre conscience que la vie vaut la peine d'être vécue malgré l'amputation. Grâce aux multiples exploits qu’il a déjà réalisés (traversée de l’Atlantique à la rame, ascension du Kilimandjaro, pôle nord…), Frank et son association contribuent à démontrer qu'avec de l'enthousiasme et de la volonté, on peut gommer les affres de l'amputation et tenter de vivre comme avant. “Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que nous n'osons pas, c'est parce que nous n'osons pas qu'elles sont difficiles”, Reprenant à leur compte cette citation de Sénèque, Frank, Eric, Franck et Marianne sont allés aux bouts d’eux-mêmes pour atteindre chacun leur sommet.

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Frank Bruno, association "bout de vie"

“Vous avez un morceau en moins, on vous offre un bout de vie...”


Prof de plongée, sauveteur en mer, footballeur, malgré sa jambe de bois, Frank utilise son potentiel de vie à 110 % pour lui et pour les autres. C'est pour faire prendre conscience aux personnes amputées de ce potentiel de vie qui est en eux que Frank a créé l'association “bout de vie”.

L’aventure qui a mené Frank jusqu’ici a commencé de manière bien plus dramatique au large du Liban, il y a une vingtaine d’années sur le porte-avion Foch. Frank effectuait son service militaire en tant que “ chien jaune ” sur le bâtiment de la marine nationale. À vingt ans, il perd sa jambe droite, broyée par un avion qui lui roule dessus ; son destin bascule. Suivent des années très difficiles pour remonter la pente et se reconstruire petit à petit une nouvelle vie. Frank est quasiment né avec une paire de palmes aux pieds, son père ayant un club de plongée à Menton, ce n’est pas ce morceau en moins qui va l’empêcher de continuer ce sport ! Au contraire, cette perte lui apporte une force nouvelle. Il reprend donc la plongée sous-marine malgré les contre-indications médicales et, cinq ans après son accident, il décide de passer son monitorat. Les instances fédérales ne croient évidemment pas un instant à la réussite de cet handicapé ; un prof de plongée amputé on n’a jamais vu ça et ce n’est pas sécurisant !… Or, en 86, Frank sort major de promotion au monitorat fédéral MF I. Cette première victoire sur l’adversité est une nouvelle étape dans sa vie et va même changer le regard qu’il avait sur lui-même. “Je me suis dit que si j'arrivais à être premier devant cent et quelques bonshommes valides, c'est que peut-être j'étais normal.”

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Festiventu : le festival du vent de Calvi


Un coup de vent et… flop, vous voilà plongé au milieu du festiventu. Sur quelle planète venez-vous donc d’atterrir ? Celle des arts, de l’utopie et de la légèreté. Une petite fille court sur la plage à la rencontre de roseaux-chaises, tandis qu’un homme-boule roule à sa rencontre. L’instant d’après des éphèbes tentent de vous emporter avec eux, mais, juste à temps vous voilà propulsé dans le ciel, accroché au bras du trapéziste volant. Lorsqu’il vous lâche votre chute est amortie par un souffle léger qui vous dépose sagement sur la plage. Alors que vous pensiez enfin pouvoir filer, un drôle d’ULM suivi d’une troupe d’oies vous emmène en balade et vous dépose dans une zone de turbulence musicale. Mais, tout à coup, c’est le silence dans la cité du vent. Le festival se termine et vous ne rêvez que d’une chose : retrouver dans une course folle la petite fille de la plage.

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L'or rouge de Méditerranée.


Depuis l’Antiquité, le corail rouge de Méditerranée fait l’objet de tous les fantasmes. D’après une légende grecque, il serait né du sang qui jaillit de la tête de Méduse lorsque Persée lui trancha. Aujourd’hui encore c’est un porte-bonheur. Il symbolise à la fois l’énergie et la prospérité. En Corse, la tradition veut que l’on offre aux nouveau-nés un pendentif en corail rouge. Les corailleurs qu’ils le pêchent doivent maintenant descendre à plus de 100 mètre de profondeur pour en trouver. Jean Pierre Carducci fait partie des 10 scaphandriers professionnels en Corse à posséder une licence officielle pour pêcher cet animal envoûtant. Amoureux de la vie, un peu bourru (il se nomme lui-même « le vieil ours et la mer »), loin des cartes postales et des bibelots destinés aux touristes, Jean-Pierre travaille le corail qu’il pêche et le vend parfois aux badauds qui ont la chance de trouver son échoppe derrière le port, ouverte.

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“ U TRINICHELLU”


La Corse est une contrée mystérieuse. Chaque habitant a une histoire familiale particulière et plus ou moins romanesque. Pour se plonger dans cette atmosphère, propre à l’Île de Beauté, il existe encore une manière peu ordinaire de la découvrir : “U Trinichellu”, ou plus précisément le petit train Corse, qui traverse le territoire et vous emporte dans un univers enchanteresque… Même si bientôt il ne restera de lui qu’une légende ; modernité oblige, depuis 2006 un nouveau train vient progressivement soulager ce grand père qui a bien mérité un peu de repos après ses multiples péripéties.

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Etant de Biguglia (haute Corse)


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Pêche à la langouste dan le petit port de Centuri (Cap Corse)


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